samedi 31 janvier 2009

Gigawing ou la cité d'or.



Et voilà une brève vidéo d'un gars capable de one créditer le jeu. Il s'agit ici du stage 5, celui de la cité d'or, avec en tant que boss le Grand Condor tout droit issu des mystérieuses cités d'or, un anime d'enfance de plein de gens.

On remarque la difficulté qu'a le guguss pour s'en sortir, même un génie comme ça est contraint d'utiliser des bombes.

J'ai enfin appris qu'il existait même un boss plus coriace que Ze Boss, vous savez, l'étrange chasseur qui vous met des bâtons dans les roues 3 fois dans le jeu et que tout le monde croit qu'il ne sert à rien. Bah c'est lui, petit mais costaud comme on dit.

vendredi 30 janvier 2009

Kei Toume: chara-design de Gigawing


C'est donc Kei Tôme (冬目 景 ) qui est à l'origine des persos de Gigawing.
Cette mangaka est née le 13 avril 70 et a gagné le concours Shiki de la Kodansha grâce à Kurogane et Mannequin en 93 et 94.
Elle a l'air populaire en France, avec l'édition de pas mal d'oeuvres... Sing yesterday for me, Les lamentations de l'agneau, Zero, déviances etc etc.







Bah voilà, maintenant je suis hyper motivé pour de la lecture de manga et du rinçage d'oeil sur des artbooks.

source: Akata

jeudi 29 janvier 2009

Gigawing, Gigafun



En ce moment, je joue à un shoot'em up absolument Giga-ntesque sorti en 99 développé par Takumi et Capcom: GiGaWing.

Alors j'ai choppé une version pal pas cher, vu que première bonne nouvelle, le jeu est sorti en France sur la Dame Blanche (la dreamcast quoi) de Sega.

J'insère donc mon gd-rom, je me fais pas de soucis vu qu'il a une bonne réputation sur les forums où je traine (et surtout je l'avais essayé sur MAME).

Pas de surprise, le légendaire logo Capcom, une musique de fond dantesque, je push start.
Là un écran moisi avec plein d'option: arcade, score attack, ranking surtout, save&load, how to play et enfin gallery!!

Bien entendu on va prendre le mode arcade pour commencer, on arrive sur l'écran de sélection des persos très stylé avec une zik sublime. On a 4 characters au total, Isha, Sinnosuke, Ruby et Stück..
Je choisis donc Isha, pilote de Porchka.



On se rend compte que la vie de Isha n'est pas toute rose et sa musique perso est très mélancolique.
Bon le scénar on s'en tape, elle vivait comme soeur guérisseuse (d'ailleurs Isha peut signifier médecin en japonais) mais à cause d'un méchant médaillon qui est la cause d'une guerre sans précédent, elle s'implique sur le champ de bataille.

Son vaisseau, Porchka, est tout mimi et envoi des tirs frontaux condensés et plein de missiles à tête chercheuse. Maintenant, c'est à vous de décider si Isha réussira son combat ou si elle va mourir comme une conne dans la vanité.

Donc, à la guerre comme à la guerre, vôtre but sera d'anéantir tout ce qui bouge et d'éviter les shoots des méchants... pas compliqué hein?!

Ouais mais nan, le premier stage est certes, assez sympathique, on apprend les bases du jeu, que A sert de shoot, B sert de "bomb" et C sert de shoot (encore), on se promène et on tue le boss tranquillement.
Le stage 1 est donc le stage d'échauffement. Quelles différences entre le bouton A et le C? Simple, si vous restez appuyé sur A, vous faites apparaître le bouclier. C'est en fait un truc bien pensé (j'y reviendrais) qui non seulement vous permet de renvoyer les tirs des méchants dans leurs gueules, mais en plus de scorer.



C'est pas forcément devinable sur ce snapshot, mais les tirs ennemis se transforment en items à prendre pour augmenter le score.


Le cruel Porchka en action .

Au deuxième stage, soit on maîtrise les bases, soit on crève. Le stage 2 est comme le stage du test d'aptitude ou ce genre de truc. on commence à bien utiliser le bouclier réflecteur, et si tout se passe bien, le score possède déjà 12 chiffres.

On arrive au stage 3, on se fait harceler de partout par des trains. Si on est pas concentré, c'est foutu, c'était déjà pas possible de se faire un café pendant le stage 1 alors au 3, on a même pas bougé nos fesses du fauteuil qu'on voit l'écran de gameover.

Oui, Gigawing est speed, pas un moment de répit, une speedité qui est bien rendu par la bande son envoutante composée par Yasushi Kaminishi. Un des shoot'em up les plus nerveux auquel j'ai pu jouer.


Isha est d'accord avec moi.

Le stage 4 est l'avant dernier, il se déroule sur un continent flottant, et c'est en quelque sorte l'examen d'entrée à l'école prestigieuse du stage 5.

Bon, je raconte nawak, mais si vous passez le stage 4, vous serez enfin en tête à tête avec la définition de bourrinisme. Ce stage, faut être vraiment talentueux pour le one créditer, honnêtement.
J'aime ce stage, sa musique, sa difficulté, on sent bien que les gars qui sont derrière le jeu sont maître de leur sujet, on utilise à fond le bouclier et on se rend compte que sa barre de rechargement est vraiment lente à se remplir (ou plutôt se vider).
Et là, on arrive à Ze Boss!! Après le stage 5, on est HS, on tient plus debout, on a les paupières lourdes, le cerveau a mal encaissé cette déferlante d'effets spéciaux... et pourtant...

LE STAGE 5 N ETAIT RIEN, LE STAGE 5 ETAIT UN JEU D'ENFANT A COTE DE THE BOSS!!

Voilà un bref aperçu de ce qu'est Gigawing.
Et si certains ne sont pas encore convaincus, je résume de manière simpliste, Gigawing c'est:
-un jeu qui dépoussière une dreamcast.
-un jeu ultra fun et speed, après une dure journée de stress où on a envie de se défouler.
-un sytème de jeu simple et efficace, bien mené.
-une difficulté progressive, les débutants du genre ne seront pas découragés dès le départ.
-Visuel sympa, tant au chara-design qu'au mecha.
-accessible.
Bon, ça ressemble de plus en plus à un test qu'on trouve dans tout les sites merdiques qui pullulent sur la toile, donc j'arrête là mais j'aurais l'occasion d'y revenir car je suis loin d'avoir vidé mon sac.

PS: Ah oui, les screens proviennent de la version arcade, qui diffère quelque peu avec sa conversion console.

here comes a new... (blog?)

Hello!
C'est parti pour ce nouveau blog (après celui sur le jeu de go) dans lequel je vais vous donner un aperçu de ma culture du jeu-vidéo.
Le but de ce blog sera de vous instruire, de vous dékéviniser, de vous faire devenir une tête, un incollable.
De faire de vous quelqu'un de bien, ou si vous l'êtes déjà, quelqu'un de "mieux".

Heaven or Hell
Let's Rock!